
Après plus rien. Vidé.
Et la panne de moteur au milieu du désert, à des milles de toute ville, m'ayant toujours intéressé, je n'ai pas forcé la sortie.
Je l'ai laissé venir, méthode naturelle. Si ça se rattache, ça se rattache, ça passe ou ça casse...
La seule méthode acceptable à mes yeux. Laisser mijoter. Pas de cuisson forcée. Et s'il n'y a plus de jus, ne pas forcer.
Laisser mariner à l'intérieur, toutes ces choses entassées dans le corps et l'esprit...
"And POP goes the weasel!"
Du fond du marais, une bulle émerge et je réintègre mon propre projet par cette nouvelle idée: dont voici un rapide jeté photographié dans l'atelier à wazemmes. C'est par cet objet, panoramique de 6 photos, genre dépliant touristique recto verso que je me raccroche de nouveau aux wagons, comme s'il me fallait une image à créer pour retrouver la tension. Une idée vraiment personnelle pour reprendre le mouvement vers sa réalisation. Un projet me redonnant la force d'avancer.
La force liée à la première gravure, l'image de la cordée dans la neige, semble s'être éclatée en autant de participants, lors de l'expédition première vers les aiguilles d'ansabère . Un groupe fut créé. L'idée partagée... et quelque part perdue...
J'avoue aussi que un petit passage par Bachelard et sa "Poétique de l'Espace" fut porteur. L'introduction pour tout dire...
Le reste est un peu long...
Je finis et vous en dit plus...
A suivre, donc...
souhaits fervents pour que ça dure (égoïstement)
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